Le souffle des mots Nuit Blanche Bruxelles 2010
Le souffle des mots
(Nuit Blanche 2010 – Bruxelles)
Installation interactive autour de la question « Si tu n’existes pas qui suis-je ? ».
« Samedi 2 Oct, 19h, place du nouveau marché aux grains…
Une « boîte » lumineuse éclaire la place au rythme d’une respiration. Mais d’où vient cette respiration ?
C’est impressionnant : 15m de long sur 13 m de large et haute de 3m, cette boîte attire mes pas dans sa direction…
Devant l’œuvre, des médiateurs m’expliquent que c’est moi qui peut faire respirer cette objet en répondant à la question : « Si TU n’existes pas, qui suis-JE ? »…Je peux y répondre en 3 langues : français, anglais, néerlandais. Je vois,- après avoir répondu -, l’intensité lumineuse varier, simulant une respiration ample… D’autres réponses vont, au contraire, donner à voir une respiration plus saccadée.
Et puis.. La foule s’amasse autour de cette objet…
Alors quelque chose d’inattendu se produit : chacun(e)s se met en scène face au contre jour que crée cet objet pour s’inventer une ombre et se faire photographier.
C’est magique».(article de presse in Le soir)
Le souffle des mots
(Nuit Blanche 2010 – Bruxelles)
Installation interactive autour de la question « Si tu n’existes pas qui suis-je ? ».
« Samedi 2 Oct, 19h, place du nouveau marché aux grains…
Une « boîte » lumineuse éclaire la place au rythme d’une respiration. Mais d’où vient cette respiration ?
C’est impressionnant : 15m de long sur 13 m de large et haute de 3m, cette boîte attire mes pas dans sa direction…
Devant l’œuvre, des médiateurs m’expliquent que c’est moi qui peut faire respirer cette objet en répondant à la question : « Si TU n’existes pas, qui suis-JE ? »…Je peux y répondre en 3 langues : français, anglais, néerlandais. Je vois,- après avoir répondu -, l’intensité lumineuse varier, simulant une respiration ample… D’autres réponses vont, au contraire, donner à voir une respiration plus saccadée.
Et puis.. La foule s’amasse autour de cette objet…
Alors quelque chose d’inattendu se produit : chacun(e)s se met en scène face au contre jour que crée cet objet pour s’inventer une ombre et se faire photographier.
C’est magique».(article de presse in Le soir)